Contenu proposé par AMAZON WEB SERVICESL’équipe éditoriale du Parisien / Aujourd’hui en France n’a pas participé à sa rédaction.
Pour mieux comprendre comment le cloud computing accompagne les entreprises françaises, AWS a mandaté le cabinet de conseil indépendant Public First. Ce dernier a interrogé plus de 1500 entreprises pour comprendre comment le cloud AWS rend plus compétitives les entreprises et, in fine, créé de la valeur pour l’économie en France.
Julien Groues Directeur général d’AWS France explique « Nous avons acquis une expérience sur le cloud depuis plus de quinze ans qui profite aujourd’hui aux millions de clients d’AWS dans le monde entier dont des dizaines de milliers en France, qui s’appuient sur le cloud pour étendre ou développer de nouvelles activités, innover plus rapidement, améliorer leur productivité ou encore réduire leur empreinte carbone. »
Le cloud AWS, un atout pour le PIB français
Le cloud AWS s’impose comme un pilier pour les entreprises en quête d’innovation et d’agilité. D’ailleurs, selon les estimations d’Eurostat, le nombre d’entreprises françaises qui utilisent le cloud a plus que doublé au cours des six dernières années. Un indice prometteur à nuancer par le fait que le niveau d’utilisation du cloud en France reste sensiblement inférieur à celui de nombreux pays développés. Son adoption est par ailleurs très inégale sur le territoire national. Pourtant, combler ce retard stimulerait la croissance du pays tout entier. Une opinion partagée par l’économiste Christian Saint-Etienne qui a collaboré avec Public First sur cette étude. Pour lui, un rattrapage s’impose : « L’utilisation du cloud en France est encore trop limitée notamment du fait de la trop faible numérisation des TPE-PME. C’est plus que jamais le moment d’agir pour que ces entreprises résistent à la pression économique et gagnent en productivité ». Avec des dépenses par habitant dans le domaine du cloud identiques à celles du Royaume Uni, la France augmenterait son PIB de 16 milliards d’euros. De quoi accompagner la reprise économique post COVID et même de voir plus loin. L’utilisation du cloud devrait encore s’accroître de manière significative au cours de la prochaine décennie, constituant une réelle opportunité économique pour la France.
Une croissance plus forte pour les utilisateurs du cloud AWS
L’année 2020 aura été marquée par une généralisation du télétravail et des vidéo-conférences. Selon l’Insee environ la moitié (49 %) de la population française active a travaillé à distance pendant le confinement. Un changement et une adaptation qui n’auraient pu se faire sans l’aide du cloud, comme le démontrent les résultats de l’étude d’AWS qui rapporte que la majorité (52 %) des entreprises françaises reconnaissent que l’utilisation du cloud leur a permis de continuer à fonctionner pendant la crise sanitaire. Pour Christian Saint-Etienne, « le cloud est un bon indicateur du dynamisme économique. Les entreprises qui exploitent le mieux les possibilités du cloud AWS croissent plus vite que les autres ». Des propos confirmés par l’étude. Les organisations qui recourent au cloud AWS ont 50 % de chances en plus de connaître une croissance supérieure à 5 % par an que celles qui ne l’utilisent pas. Un avantage non-négligeable dans une économie moderne extrêmement dynamique dans laquelle, pour tirer leur épingle du jeu, les entreprises doivent faire preuve de réactivité et d’innovation. Le cloud AWS apporte une flexibilité incomparable pour adapter leurs ressources informatiques aux variations d’activité que ce soit lors de pics d’activité ou d’un contexte exceptionnel. Grace au cloud AWS, les puissants moyens informatiques ne sont plus l’apanage des très grandes sociétés.
Concilier enjeux économiques et écologiques
La France a plusieurs défis de taille à relever dont celui de la reprise économique et celui du développement durable. Mais d’après l’étude AWS, les objectifs économiques et les enjeux écologiques ne sont pas irréconciliables. « Les Technologies de l’Information et de la Communication sont responsables d’environ 1,4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et c’est pourquoi nous devons agir pour contrôler l’impact de la technologie sur la planète. AWS est en passe d’atteindre 100 % d’énergie renouvelable d’ici 2025 et Amazon s’est engagé à être une entreprise nette zéro carbone d’ici 2040 » souligne Julien Groues. Les efforts des entreprises du secteur sont importants et permettent d’être efficaces : selon des recherches universitaires, en 2018 la consommation énergétique mondiale due à l’informatique n’a augmenté que de 6 % alors que les ressources informatiques ont été multipliées par six. La tendance devrait encore s’accentuer avec les politiques volontaristes des principaux fournisseurs de cloud publics pour réduire leur empreinte carbone. Les entreprises en ont bien conscience et 65 % d’entre elles reconnaissent que le cloud réduit plus facilement l’impact environnemental de leur informatique.
Renforcer la sécurité et veiller à la conformité
La sécurité des données est une priorité pour les entreprises de toutes tailles. L’étude AWS rapporte que 449 000 entreprises françaises ont perdu des données au cours des trois dernières années, et 239 000 ont été victimes d’un piratage informatique ou d’une faille de sécurité, sur la même période. Des chiffres d’autant plus alarmants que des estimations indépendantes constatent que le coût moyen d’une violation de données peut atteindre plus de 3 millions d’euros. La prolifération des cyberattaques et l’évolution du contexte règlementaire complexifient la tâche des entreprises. En s’appuyant sur le cloud, elles peuvent renforcer la protection de leurs données, accroitre la sécurité et s’assurer de la conformité avec les réglementations en vigueur. Tous les logiciels sont continuellement mis à jour avec la possibilité d’automatiser les contrôles de sécurité récurrents. Certains services dans le cloud facilitent en plus la conformité aux lois et réglementations en matière de protection des données. Les fournisseurs de cloud public membres du CISPE (Fournisseurs de services d’infrastructure dans le cloud en Europe) s’engagent à suivre un code de conduite. Dans le cadre de ce code, ils doivent veiller à ce que leur infrastructure soit totalement compatible avec le règlement général sur la protection des données (RGPD), et donner à leurs clients la possibilité de stocker et de traiter leurs données entièrement dans l’Espace économique européen.